• Katekyo Hitman Reborn - Dans Chaque ami... 1er Arc - (00-Prologue/12)

     

    Disclaimer : Les personnages de Reborn sont à Akira Amano, mais je pense qu’il ne savait pas à quel point ses personnages allaient être martyrisés !

    Rating : K pour l’instant, il n’y a rien de choquant, je changerais au fur et à mesure

    Genre : Semi-Univers Alternative / Romance / Humour / Mafia

    Pairing : A découvrir ;) Mais il y en aura pleins !

    Note de début : Bien le bonjour, je tiens à préciser que les personnages seront OOC et les attitudes différentes que ce que vous pourrez imaginer. J’espère pourtant que ça vous plaira, et je crois que j’ai fait le tour ! Si jamais vous avez des questions, n’hésitez pas.

    (L’histoire n’a pas été bêta-readé, excusez donc les fautes si vous en croisez)

    °0o0°

    Premier Arc - Prologue : Il était une fois…

    Un bruit sec et répétitif résonnait sur le sol carrelé du manoir Vongola. Cela avait pour but de calmer la personne qui tapait du pied avec persistance.Mais au final cela ne faisait que l’énerver davantage. Un juron lui échappa à mi-voix avant qu’il ne se reprenne : il avait promis à son ami de contrôler son langage dans n’importe quelle situation… Même quand celui-ci avait vingt minutes de retard…

    « Bon sang, Giotto ! Où t’es encore passé ?! » S’écria l’homme à pleins poumons.

    Soudain, arrivant tout droit du salon privé de la famille, le blond apparu enfin dans son champ de vision. Comme s’il avait attendu le moment où son bras droit allait craquer pour le réprimander. Mais celui-ci explosa avant même qu’il n’ait pu ouvrir la bouche :

    « Putain, Giotto !! Nous avons un rendez-vous avec une très grande famille mafieuse qui pourra nous apporter un soutien considérable, et toi tu te permets d’être en retard ?! Heureusement que je t’ai dit de venir en avance !! »

    Giotto attendit que son ami en ait fini avec ses remontrances habituelles, une moue enfantine plaquée sur le visage : il ne voyait pas où était le mal puisqu’ils n’étaient pas en retard. Il reprit cependant son visage sérieux quand son ventre se crispa une nouvelle fois… Il posa sa main sur le bras de G, son fidèle bras droit, dans l’espoir de le calmer. Son geste eut l’effet escompté et l’autre s’arrêta en pleine tirade.

    « A propos de cette réunion… J’ai l’impression que quelque chose ne va pas… » Le froncement de sourcil peu convaincu et réprobateur de son ami le força à continuer avec plus de voix : « Je ne rigole pas G, j’ai un mauvais pressentiment ! »

    « Ouais… T’as la flemme d’y aller quoi. » Répliqua l’autre d’une voix désabusée.

    Alors que Giotto essayait de convaincre, en vain, son ami que ça n’avait rien à voir avec ça, une jeune femme aux cheveux caramel s’approcha des deux hommes qui se chamaillaient comme des enfants. Elle attrapa doucement le bras de Giotto, son sourire rayonnant de joie calma G et fit fondre de bonheur à son tour le blond. Elle souffla quelques propos à Giotto, dont G ne comprit que quelques mots comme "Nana", "détails" avant de leur souhaiter un bon voyage.

    « Quelque chose ne va pas avec la femme d’Iemitsu… ? » Demanda G d’une voix préoccupée : tout le monde aimait la douce Nana qui réchauffait les cœurs les plus froids.

    Giotto se tourna vers le rosé, un sourire immense sur les lèvres. Il entoura les épaules de l’homme de son bras, en l’emmenant avec lui, dehors, où leur voiture les attendait.

    « G… Je vais devenir papa ! »

    « Quoi ?! » S’étrangla l’autre sous la surprise de la nouvelle.

    « J’ai demandé à Nana, tu sais la femme de mon neveu, si elle pouvait être la mère porteuse de notre enfant, puisque le docteur a dit que le ventre d’Anaëlle ne peut pas enfanter. Et elle a accepté ! Bien sûr, nous allons encore essayer un peu, mais si ça ne marche vraiment pas, les scientifiques Vongola feront une fécondation in-vitro et Nana portera l’enfant pour la grossesse ! »

    « Félicitations Giotto, tu feras un merveilleux père. » S’exclama le rosé, sincèrement heureux pour son meilleur ami, qui méritait cette famille.

    Les deux hommes montèrent dans la voiture et le chauffeur démarra. G repartit alors sur le fait que Giotto avait bel et bien tenté de fuir cette réunion, et recommença son sermon sous l’œil amusé de leur conducteur. Le blond ne l’écoutait qu’à moitié de son côté. Son ventre se crispait de plus en plus, comme pour l’avertir du danger imminent… Mais il n’arrivait pas à discerner ce danger : était-ce la réunion ou bien G qui menaçait de le faire exploser pour qu’enfin, il l’écoute ?

    Plus sérieusement, le blond sentait que quelque chose allait véritablement se passer et qu’il ne l’apprécierait pas… Comme une sorte de cadeau empoisonné. D’un autre côté, il ne voyait pas ce qui pourrait lui arriver : la Famiglia qu’ils allaient voir n’avaient pas d’intérêt à les faire disparaitre et jamais ils n’avaient été impliqués dans quelque chose du même genre. Il n’avait donc rien à craindre d’eux et les recherches qu’avaient menées Alaude étaient assez poussées pour qu’ils ne les remettent pas en cause. Alors pourquoi se sentait-il aussi mal… ?

    Alors qu’il était plongé dans ses pensées son angoisse monta subitement et il ordonna immédiatement au chauffeur de freiner et d’arrêter la voiture. Le pauvre homme sous la surprise lui obéit immédiatement. Mais le véhicule ne ralentit pas d’un pouce… Effrayé de découvrir que les freins étaient inutiles, le chauffeur commença à faire zigzaguer la voiture avant que celle-ci ne s’encastre dans un arbre.

    G n’arriva pas à s’accrocher à quelque chose et il fut violemment projeté contre le dos du siège avant, la tête la première. Il lui fallut plusieurs secondes pour se redresser, son nez en sang et son front en tout aussi mauvais état. Tout tournait autour de lui, il ne discernait que des lignes floues qui dansaient autour de lui. Il réussit plus ou moins à repérer Giotto grâce à la tache blonde de ses cheveux au milieu du noir des cuirs. Le sang cognant dans son crâne  le força à prendre sa tête dans ses mains.

    « Hn… Putain de merde… » Grogna faiblement G.

    Le blond à ses côtés laissa un faible rire s’échapper de ses lèvres : peut-être que le langage de son ami n’était pas une si mauvaise chose finalement, on savait tout de suite s’il allait bien ou pas. Lui-même essaya de se redresser, mais un mal de tête violent l’en empêcha. Il resta donc contre son siège à reprendre ses esprits, pendant qu’il entendait G vérifier l’état du conducteur. Giotto se sentit soulagé quand son ami le rassura :

    « Il est juste assommé. Mais qu’est-ce qui t’a pris Giotto ?! »

    « Je ne sais pas… J’ai senti que quelque chose allait se passer… »

    A peine eut-il prononcé ces mots que des coups de feu retentirent tout près… « Trop près ! » Pensa avec angoisse G. Il s’apprêta à sortir pour se mettre à terre et éviter le plus de balles possible, quand l’une d’elle justement traversa la portière et se logea dans sa jambe. Dès cet instant, l’homme comprit qu’ils n’étaient pas un dommage collatéral mais bel et bien la cible… ! Il jura, une nouvelle fois, et au diable les remontrances de son ami car franchement ce n’était pas le moment de faire dans la dentelle ! Il sortit son pistolet et fit basculer Giotto contre la banquette pour lui éviter de se prendre des balles perdues. Il s’agenouilla à ses côtés et le silence tomba d’un coup.

    Plus aucune balle s’écrasant dans la carrosserie. Plus aucune vitre brisée par l’impact. Plus aucun son à part celui de leur respiration. G était aux aguets mais il n’entendit pas les bruits de pas qui se rapprochaient de la voiture. Ces hommes étaient des professionnels et le gardien Vongola était encore trop sonné pour être en possession de toutes ses facultés. Il ne vit rien venir, ni le coup de feu silencieux qui exécuta le conducteur, ni celui qu’il reçut dans le dos… Il ne put que se rendre compte de l’affreuse vérité quand un autre homme pointa son arme sur la tête de Giotto… Même perdant autant de sang, le gardien tenta d’atteindre son ami pour l’extirper de ce piège, mais il ne put même pas le toucher que le coup était parti…

    « Bye-bye Vongola Primo… ! » Chantonna son assassin, un sourire inquiétant déchirant son visage.

    G sentit sous ses doigts la flaque de sang qui grandissait sous Giotto et qui s’étalait jusqu’à lui. Il ouvrit la bouche pour crier sa colère et sa tristesse, mais aucun son n’en sortit et il s’effondra contre le sol de la voiture à son tour, son propre sang se mélangeant à celui de son meilleur ami, pendant qu’il sombrait dans les ténèbres froides de la mort…

    A suivre…

    °0o0°

    C’était le prologue de cette nouvelle fiction Katekyoh Hitman Reborn! J’ai pleins d’idées en ce moment pour des semi-ua avec des divergences de scénario, mais j’espère que cette première fiction peut-être d’une petite série, vous plaira.

    Laissez-moi une petite review pour me donner votre avis ;)

    Prochain chapitre : « Ils arrivèrent enfin à l’étage du cabinet Hibari et ils toquèrent avant d’entrer dans le bureau. La première chose que virent les deux enfants, fut un homme en costume noir, comme ceux en bas et aux cheveux longs attachés dans son dos. Dès qu’ils ouvrirent la porte, main dans la main, l’homme se tourna à moitié vers eux et Tsunayoshi se cacha derrière Kyoya en croisant le regard froid et dur de l’homme. »

    Concernant les autres fictions en cours, elles ne sont pas abandonnées, mais j’ai besoin d’écrire sur les idées que j’ai en ce moment par qu’en ce moment, c’est le bouchon dans le périphérique de mes idées.

     

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