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    Disclaimer : Les personnages de Reborn sont à Akira Amano

    Rating : T

    Genre : Semi-UA / Romance / Humour / Adventure / Mafia

    Pairing : Il y en encore à découvrir ) Dont : Hibari/Tsuna, Bel/Hayato, Squalo/Xanxus, Luce/Reborn, Dino/Basil, Lal Mirch/Colonello

    Note de début :

    Un nouveau chapitre que vous pouvez venir dévorer si l'envie vous prend. Cette fois il est plus du point de vue de notre petit Hibari qui va attends de voir son cher et tendre, car oui il se réveille seul… Le pauvre chou ! Enfin, il va finir par être rejoint, mais les choses ne vont pas aller comme il le veut et il va même en apprendre des belles. De notre côté cependant, pas de grandes nouveautés, on devine sans mal le méchant et à part le flashback du début, on sait déjà tout.

    Découvrez donc notre nouvelle attraction : Hibari dans un environnement où il ne contrôle rien, pas même son propre corps. J'ai pris le parti de le faire OOC dans cette situation, car là il est vraiment plus que démuni et on ne peut pas rester parfait tout le temps. Cela vous choquera peut-être, mais j'espère que vous aimerez malgré tout ! Bonne lecture.

    Réponses aux Reviews :

    Daidaiiro30 : Deux reviews carrément ! XD Je me sens flatté presque xP Alors j'ai prévu un petit retour en arrière pour vous permettre de savoir ce qui s'est plus ou moins arrivé entre le moment du garde et le passage en ellipse du chapitre précédent. Contente sinon que mon petit OC t'ais plu, j'avoue avoir mis pas mal de mon propre ressentit pour ce bonhomme. Pour les flammes, je ne compte pas m'appesantir sur le sujet dans les prochains chapitres donc je peux bien te le dire : les Estraneos, ayant pu étudier les flammes de Tsunayoshi en ont compris le fonctionnement, c'est pour ça qu'ils peuvent en utiliser.

    Cyrielle : Absolument génial ? A ce point ? Mais c'est qu'on me couvre de compliments en ce moment, je ne vais pas pouvoir garder des chevilles fines moi XD Mais tu as raison, j'ai un don pour le suspense puisqu'on enchaînera de nouveau avec un suspense à la fin de ce chapitre 8D Et oui, sadique un jour, sadique toujours !

    history : Merci beaucoup pour ta review ) J'étais sûr que mon OC plairait, mais pas autant, je dois bien l'avouer XD J'espère que tu n'es pas trop déçu de le voir partir dans ce cas ?

    Au passage, merci à ceux qui lisent mes chapitres et qui les aiment :) Notamment à ceux qui laissent des reviews (Merci spécial à Inukag9, Betzu, Cyrielle, history et Daidaiiro30 qui ont commentés le chapitre précédent ! Ainsi qu'à tous ceux qui ont mis ma fanfiction en favorite ou en follow), j'adore vous faire plaisir chers lecteurs ! *milles bisous de remerciements !*

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    Quatrième Arc – Chapitre III (30) : Le Cauchemar

    Kyoya observa une nouvelle fois la pièce dans laquelle il se trouvait. Quatre murs blancs. Un plafond blanc. Un sol carrelé blanc. Une porte blanche. Deux rangés de trois lits métalliques aux draps blancs. Un gros anneau noir devant chaque couche et des chaines grises et épaisses qui en pendaient. Devant son propre lit, le même anneau, sauf qu'au lieu de pendre « innocemment », sa propre attache était reliée à la grosse menotte en acier qui emprisonnait l'une de ses chevilles. Il avait une assez grande amplitude de déplacement puisqu'il pouvait à priori se rendre à l'autre bout de la pièce sans soucis, contrairement à celles des autres beaucoup plus courtes. Sinon aucune fenêtre donnant sur l'extérieur, juste une bouche de ventilation et cette porte fermée à clé : il avait déjà tenté de l'ouvrir, c'était même la première chose qu'il avait fait en la voyant. On avait aussi changé ses habits. Il avait maintenant sur les épaules un vêtement ressemblant beaucoup à la blouse d'hôpital des patients, entièrement blanche mais à fermer sur le côté plutôt que dans le dos.

    Depuis qu'il s'était réveillé, le président du comité de discipline du collège de Namimori se sentait mal à l'aise, non pas à cause de sa tenue ou même de la pièce – autant de blanc l'aurait presque rendu fou – mais bien parce qu'une petite voix lui soufflait qu'il était tombé en enfer. C'était d'ailleurs pour penser à autre chose qu'il observait sans cesse cette espèce de dortoir d'hôpital. Il se disait soit dit en passant qu'une fois rentré, il ferait en sorte que l'infirmerie de l'école soit repeinte en vert pomme ou en jaune canari, peu importe, mais il ne pourrait sûrement plus supporter quatre murs blanc avec un carrelage de la même couleur. Au moins, il n'y avait pas cette odeur aseptisée caractéristiques des médicaments.

    Finalement après avoir observé les murs dans le blanc de leur peinture, constater que les lits neufs n'avaient pas lésions à mémoriser et que la porte était bel et bien fermée pour la troisième fois, Kyoya s'allongea dans le lit et se mit à réfléchir sur ce qu'il se souvenait des quelques instants qui avaient précédés leur enlèvement – car il n'en doutait pas, c'est ce qu'il s'était passé.

    Ils marchaient main dans la main entre les couples, les groupes d'amis et les mères de familles. Le marché qu'il remontait était installé dans une artère principale de la ville et l'ambiance était à la fête malgré le froid qui régnait encore dehors. Sur les étales, on vendait des fleurs, des fruits, des brocantes, des livres, des jouets, des bijoux, des vêtements. Kyoya ne savait pas à quoi pouvait ressembler un souk oriental, mais il avait l'impression qu'ils traversaient quelque chose qui y ressemblait beaucoup. Ils s'arrêtaient parfois devant des échoppes quelconques pour regarder ce qui y était proposé. Tsunayoshi s'était amusé à lui faire essayer une tonne de perruques colorées sous l'œil amusé de la vendeuse, qui avait tout de suite reconnu des clients qui n'achèteraient pas, mais qui avait trouvé amusant de venir y mettre son grain de sel.

    Ils avaient ensuite continué leur chemin vers le parc. De ce que lui avait dit Tsunayoshi, il y avait un aquarium là-bas, une serre et plusieurs étendus d'eau. Enfin, ils auraient pu aller dans un tout autre endroit, puis lui aurait importé, il était déjà satisfait juste en pouvant avoir un autre rendez-vous avec son petit-ami. Kyoya n'était pas très fleur bleue, mais il avait voulu avoir Tsuna pour lui tout seul et au manoir c'était impossible : il y avait toujours quelqu'un pour venir s'immiscer entre eux, que ce soit Riccardo ou Xanxus, Alaude ou Daemon, Mukuro, Hayato ou d'autres. Il admirait d'ailleurs le calme de son amant qui n'avait jamais montré son énervement de les voir tourner autour de lui constamment et pourtant il savait que le petit brun n'était pas très fan de cette abondance d'attention, il lui avait dit après que Fran et Belphégor se soient finalement éclipsés pour échapper à Squalo.

    Mais alors qu'ils commençaient à apercevoir l'autre bout du marché, Tsunayoshi s'était tendu. Kyoya avait jeté de discrets regards aux alentours pour tenter de comprendre le changement d'attitude de son petit-ami, qui semblait maintenant sur ses gardes comme jamais. Il ne le remarqua pas tout de suite, mais il ne voyait leurs deux gardes nulle part. Il y avait la possibilité qu'ils se soient fondus dans la foule à la perfection, mais la soudaine tension qui habitait les épaules de son brun lui fit comprendre que ce n'était pas ça.

    « Leur présence ont disparues. A tous les deux. Reste calme. » Murmura Tsuna sans presque ne pas faire bouger ses lèvres.

    Kyoya lui demanda le nom du parc dans lequel il se rendait pour bien montrer qu'il avait compris. Cela faisait très peu de temps qu'il avait pris sa décision concernant la Mafia, mais on lui avait déjà inculqué de force les règles de bases que mêmes les gamins de rues connaissaient instinctivement. Et l'une d'elle c'était de ne jamais montrer à son ennemi qu'on se savait en danger, sauf quand celui-ci se trouvait face à vous et alors là il fallait garder son sang-froid. Cela permettait de ne pas entrer dans le jeu de l'adversaire et de pouvoir analyser toutes les situations disponibles. Daemon – dont la tête ne lui était pas revenu dès leur première rencontre, peut-être à cause de la coupe – le lui avait répété à chacune de leurs séances d'apprentissages, à lui et Takeshi, quand Tsuna était occupé avec Alaude.

    L'adolescent aux yeux caramel joua très bien le jeu en lui répondant très naturellement. Il en profita d'ailleurs pour faire semblant de se rappeler d'un magasin d'antiquités asiatiques qui se trouvait dans le coin. Il envoya un message, qui aurait dû être destiné à leurs gardes du corps, même s'il savait que désormais, c'était leurs ennemis qui le recevrait. Il faisait uniquement ça pour donner le change. Dans ce texto, il indiquait qu'ils feraient un petit détour. Heureusement pour lui, le magasin existait bel et bien et ils devaient passer par une petite ruelle pour le rejoindre, car sinon il ne sait pas ce qu'il aurait pu inventer comme excuse plausible pour s'éloigner des passants. Faire cela donnait un avantage à leurs poursuivants et il aurait été plus sécuritaires de s'installer dans un café bondé et d'attendre une voiture pour les ramener. Mais il y avait toujours le risque d'un sniper ou d'une attaque éclaire, quitte à tuer des innocents. Ils n'avaient pas donc vraiment le choix, le code de la Mafia interdisant de mêler ouvertement le commun des mortels à leurs affaires, ils allaient devoir s'éloigner et se préparer au combat.

    Ce fut donc toujours en se tenant la main qu'ils rejoignirent cette petite ruelle et Tsuna s'arrêta devant le magasin qui indiquait qu'il était fermé. Le brunet fit mine de relire les horaires et s'excusa auprès de Kyoya :

    « Ah c'est fermé, c'est vraiment dommage. Mais bon, on pourra toujours revenir un autre jour. Que dirais-tu en attendant de s'occuper de ses charmantes personnes qui sont venus pour nous ? »

    Ils se mirent tout de suite dos à dos. Kyoya sortit de nulle part ses deux tonfas, se campant solidement sur ses appuis, prêt à faire face à leurs adversaires, tandis que Tsunayoshi sortit de son étui de hanche un Sig Pro 2340 semi-automatique, dont le japonais aux cheveux noirs entendit le déclic de la queue de détente, ainsi qu'un poignard Hibben Legionnaire de son fourreau au mollet, se préparant ainsi à attaquer à vue. Mais il n'eut pas le temps de tirer le moindre coup de feu quand les hommes arrivèrent, qu'il s'effondra soudainement. Déstabilisé, Kyoya se retourna pour voir ce qui arrivait à son amant, le voyant tremblant, haletant et se tenant la nuque. L'adolescent japonais aperçut quelque chose palpiter sous la peau de Tsuna, à l'endroit où sa main était venue se loger, ainsi qu'une légère lumière bleue sous-cutanée, avant que tout devienne noir autour de lui…

    A son réveil il avait senti une petite bosse à l'arrière de son crâne, mais aucune douleur. Il avait donc dû être frappé par derrière au moment où il leur avait tourné le dos, mais qu'on lui avait aussi déjà donné un médicament pour atténuer la douleur. Cependant sa question première avait été pour Tsunayoshi : que c'était-il passé à ce moment pour qu'il chute comme ça ? Et il ne l'avait toujours pas vu depuis qu'il avait ouvert les yeux sur ce lit, tout comme il ne savait pas précisément où il se trouvait, ni la raison de leur enlèvement. Une rançon ? Pourquoi perdre du temps à le changer dans ce cas ? Un règlement de compte ? Pourquoi était-il toujours en vie alors ? Non vraiment, il ne comprenait pas. Et quand il ne comprenait pas, il devenait de mauvaise humeur. Toutefois il n'avait rien ni personne pour se défouler, le rendant encore plus irascible. Un cercle vicieux dont il n'arrivait pas à s'échapper car il n'avait aucun moyen de le faire, seul, enfermé dans une chambre vide, sans aucun divertissement de quelque sorte que ce soit.

    Il aurait très bien pu se défouler contre le mur blanc, le teintant de son sang, mais il ne savait pas s'il était observé ni ce qu'il pouvait lui arriver si jamais il agissait ainsi. Depuis qu'il avait vu de ses propres yeux la Mafia, il se disait que tout pouvait arriver : il ne connaissait pas encore assez bien ce monde, son fonctionnement et les moyens disponibles, pour ne serait-ce qu'écarter la moindre théorie stupide. Et dire qu'il était plutôt quelqu'un de logique en des circonstances normales… Voilà qu'il se mettait à supposer des scénarii complètement tirés par les cheveux, digne des films d'actions hollywoodiens.

    Puis le stress et la rage laissèrent place à une myriade de questions. Et la plupart portaient sur le temps qui était passé depuis son enlèvement, son arrivé ici ou même son réveil. En effet, il n'y avait aucune horloge, aucun réveil, aucune montre dans cette pièce et comme l'éclairage était électrique, il ne pouvait même pas s'aider de la position du soleil pour se donner une idée grossière de l'heure.

    Depuis combien était-il là ?

    Combien de temps allait-il resté seul ?

    Allait-il seulement avoir de la compagnie d'ailleurs ?

    Il l'espérait, car il avait beau avoir une mentalité d'acier, avec toutes ses questions sans réponses, il allait vite devenir fou… Kyoya décida que dormir restait sa meilleur option pour le moment et il s'installa le mieux possible dans son lit – il était habitué au futon et cette couche était certes plus confortable, mais il n'était pas aussi bien installé.

    oOo

    Le grincement d'une porte qu'on ouvre réveilla l'adolescent aux cheveux noirs en sursaut. En quelques secondes il fut sur ses pieds, la chaîne tintant au mouvement. Sa tête lui tourna à cause de son geste brusque mais il put rapidement observer ce qu'il se passait. Si cela n'avait tenu qu'à lui, chaîne ou pas, il se serait jeté sur le nouvel arrivant pour le former à le libérer, mais quand il vit les personnes qui venaient d'arriver et l'état dans lequel ils étaient, il pâlit à vue d'œil… Ken, Chikusa et Nagi venaient de pénétrer dans le simulacre de dortoir, suivit par trois hommes habillés comme des chirurgiens avec des tabliers couverts de sang. Et en voyant les bandages qu'affichaient les trois adolescents, il ne faisait aucun doute de la provenance de ce sang… Kyoya aurait voulu se jeter les adultes pour leur faire payer, mais non seulement ils étaient trois, lui n'avait aucune arme pour se défendre, mais Chikusa lui envoya un regard qui lui conseillait clairement de ne rien faire de stupide.

    Les adultes attachèrent les adolescents aux chevilles, comme pour lui et ils partirent sans dire un mot. Kyoya s'approcha immédiatement des trois autres prisonniers, mais Nagi lui avait tourné le dos et s'était recroquevillée sur elle-même… Tandis que Ken s'était immédiatement endormis, avant même que sa tête ne touche le coussin. Il ne restait plus que Chikusa qui l'invita à s'installer à côté de lui – il avait une chaîne plus longue que ses amis, mais ce n'était pas assez pour qu'il rejoigne Kyoya.

    « Où sommes-nous ?! » Attaqua directement le seul japonais de la pièce.

    Ses sourcils froncés, son regard confus, ses traits fatigués, il était clairement perdu et cela l'irritait. Chikusa inspira profondément, il aurait préféré ne pas avoir à faire à ce genre de questions, mais dès le moment où il avait vu le président du comité de discipline de Namimori, inconscient sur l'un des lits de la chambre, il avait su qu'il n'y réchapperait pas.

    « C'est la base de l'Estraneo Famiglia. Ou plutôt ils se font appeler les Neo-Estraneo. »

    « Ils sont de la Mafia ? »

    « Oui, malheureusement… »

    « Que fait-on ici ? » Enchaîna Kyoya, ne supportant plus de ne rien connaître de la situation.

    « Tu es là comme moyen de pression. » Répondit simplement Chikusa.

    Il ne souhaitait pas s'appesantir sur les atrocités qu'ils vivaient, véritables cauchemars éveillés, miroir de ce qu'ils avaient vécus lorsqu'ils n'étaient encore que des enfants. De plus, il ne savait pas ce qu'il avait le droit de dire : d'après ce qu'il avait compris, Tsunayoshi n'avait jamais rien dit à ses amis sur les sévices qu'il avait subis avec eux, il pouvait même affirmer qu'ils ne savaient qu'il avait fait l'objet de la cruauté humaine.

    « Pour qui ? »

    « Tsunayoshi-san, qui d'autres ? Si cela ne tenait à lui, il aurait sûrement déjà détruit la moitié du bâtiment avec Mukuro-sama. »

    « Comment ça ? Quelles sont les conditions ? »

    « Je n'en sais rien, je n'étais pas là quand ils l'ont menacés. Nous nous sommes réveillés ici après avoir été enlevé. »

    Un petit silence désagréable s'installa entre les deux adolescents. L'un essayait de se sortir de la tête le fait que leur enfer recommençait comme des années auparavant et que cette fois, ils allaient avoir du mal à s'en échapper aussi facilement que la première fois. Le second essayait de comprendre les raisons de cet enlèvement, puisque cela ne semblait pas être une raison habituelle – rançon ou tort aux Vongolas – et ce qu'on pourrait lui faire, que craignait tellement Tsuna, pour qu'il se laisse faire… D'ailleurs, se laisser faire pour quoi… ? Il se tourna vers Chikusa, la question sur le bout des lèvres, ayant du mal à quitter sa bouche :

    « … Qu'est-ce qu'ils lui font ? »

    « … »

    « Chikusa, répond-moi ! C'est mon ami merde ! J'ai le droit de savoir ! »

    Il en laissait tomber ses traditionnelles « herbivores », la situation ne s'y prêtait sûrement pas. Il n'avait pas assez le contrôle de la situation pour se permettre de se montrer insolent.

    « … Il faut que tu me promettes de garder ton calme. T'énerver ou provoquer du grabuge ne l'aidera pas. Tu comprends ? »

    Kyoya ne répondit pas. Oui il comprenait, mais il ne pouvait pas promettre. Et le ton de Chikusa ne lui plaisait pas du tout, ni ses paroles. L'adolescent amateur de yoyos n'eut aucun mal à lire dans son regard, tout ce qui lui passait par la tête. En temps normal, il savait qu'il n'aurait pas pu déchiffrer ne serait que le début de ses pensées, mais l'absence de Tsunayoshi, son inquiétude pour son ami d'enfance, le stress des derniers évènements, il devait être en train de craquer. En tout cas son impassibilité et sa maitrise de soi craquaient, elles.

    Le prenant en pitié, il décida quand même de lui dire ce qu'il savait. Il ne le faisait pas de bon cœur, mais il se dit qu'il valait mieux qu'il l'apprenne maintenant pour pouvoir être plus calme quand Tsunayoshi arriverait…

    « Je ne connais pas les détails, on est que le premier jour après tout et nous ne sommes pas avec lui, mais… Il… Il subit des expériences qui doivent porter sur les flammes… »

    Il vit l'adolescent pâlir à vue d'œil et ses yeux s'écarquiller d'horreur. Oh oui qu'il le comprenait…

    « Je suppose qu'ils l'ont menacé de te soumettre à la même chose si jamais il se rebellait. »

    « … Pourquoi ? »

    Chikusa le regarda simplement, attendant la suite.

    « Pourquoi s'en prennent-ils à lui ? »

    « Parce que les Flammes du Ciel sont les plus rares… Et parce qu'il est puissant… Mais c'est surtout parce que… Parce qu'il… Parce que nous avons tous déjà vécu ça… Ils veulent sûrement finir ce qu'ils avaient commencé, il y a des années de ça. »

    Il venait de donner le coup de grâce, Chikusa n'avait aucun doute là-dessus. Il voyait clairement sur son visage qu'il était bouleversé par ce qu'il venait de lui expliquer. Qui ne le serait pas de toute façon ? Comment ne pas l'être quand on apprenait que son ami d'enfance, son petit-ami, la personne qu'on aime le plus, dont on pense connaître les derniers secrets… Oui, cette personne. Comment réagir lorsqu'on nous annonçait qu'elle vivait en ce moment même des expériences et pas comme dans test humains, mais bien expériences humaines contre l'éthique, et qu'en plus ce n'était pas la première fois, que quelque chose de similaire c'était déjà produit par le passé ? Etait-ce réellement possible de ne pas être bouleversé par une telle nouvelle ?

    Non, et en ce moment Kyoya pensait même réfuter l'information que son cerveau avait capté et bien trop analysé pour son propre bien. Il essayait de se convaincre que tout cela n'était qu'une farce, un coup monté, que Mukuro et Fran étaient sûrement à l'origine de toute cette mascarade, cette mise en scène, ou que Chikusa mentait… Mais, quel intérêt aurait-il à le faire ? Pourquoi inventer un jeu aussi sordide ? Non, tout ça était bien réel et c'était bien plus effrayant encore.

    Tsunayoshi avait-il vraiment subi des expériences sur son corps étant plus jeune ? C'était la question qui tourmentait principalement l'adolescent japonais.

    Car il n'arrivait pas à accepter le fait qu'il n'ait pas pu être là pour le protéger, pour l'aider à surmonter cela, pour au moins le réconforter.

    Car il n'arrivait pas à accepter le fait que Tsuna ne lui ait jamais rien dit, qu'il n'ait jamais pensé que cela puisse être important de le mettre au courant, lui ou un autre.

    Car il n'arrivait pas à accepter le fait que Mukuro ait pu s'attaquer à l'adolescent lors de leurs retrouvailles, malgré leur passé commun, qu'il l'ait enlevé et séquestré alors qu'ils avaient vécu l'enfer ensemble.

    Il n'avait pas l'ananas en estime, mais il devait au moins lui accorder sa prévenance envers le fils adoptif de Riccardo et ce qui semblait être un puissant sentiment de respect. Alors maintenant qu'il en savait un peu plus, il comprenait la raison de ce respect – construit dans la douleur – mais il n'arrivait pas à suivre la logique de Mukuro d'avoir ainsi agit avec son ami d'enfance il y a plusieurs mois de cela…

    Chikusa, pouvant toujours lire en lui comme dans un livre ouvert et ayant pris le parti de calmer ses questions pour que Mukuro et Tsunayoshi puissent pleinement se reposer de leurs « séances », décida de répondre à ses questions intérieurs :

    « Lorsque Tsunayoshi-san a émis le souhait de vouloir retourner au Japon, Mukuro-sama avait utilisé ses illusions pour lui effacer la mémoire. Alors quand nous avons retrouvé sa trace et qu'il a fallu reprendre contact avec lui, nous pensions tous qu'il ne se souvenait de rien, d'où nos méthodes. Mais il s'est avéré que Tsunayoshi-san s'en était délivré de lui-même peu après son arrivé au manoir Vongola. D'ailleurs, c'est lui qui avait engagé le combat quand Mukuro l'a détaché. » Expliqua calmement Chikusa.

    Il pensait qu'ainsi, les dernières questions de Kyoya s'envoleraient, mais il se rendit rapidement compte qu'au contraire, cela avait eu l'effet inverse. Quoi que… Il semblait plus perdu dans ses pensées que dans ses questions.

    Inévitablement, le président du comité de discipline de leur collège venait de comprendre, par ce que venait de lui révéler le camarade de Mukuro, que ces expérimentations humaines, Tsuna ne les avait pas subi après son départ pour l'Italie, mais avant… Il essayait tant bien que mal de se rappeler, de trouver quelque chose qui aurait pu le mettre sur la voix. Mais rien, rien à part cette subite perte de mémoire sur une période avoisinant les six ou sept mois. Les quelques médecins qu'avait vu l'orphelin à sa subite réapparition au pays, avaient supposés que l'enfant avait dû perdre la mémoire à cause du choc de la mort de ses parents. Mais aucun spécialiste n'avait réussi à raviver ses souvenirs ou même à expliquer ce qu'il avait fait ou vécu pendant ce temps d'absence. Kyoya n'avait cependant pu qu'intercepter des bribes de conversations entre les docteurs et son père et il n'avait jamais été là, à écouter aux portes, quand ils s'étaient engagés sur le cas de son état physique, il partait toujours avant ou il arrivait toujours après.

    En effet, chaque médecin que Tsunayoshi avait consulté à l'époque, sur la demande du patriarche Hibari, avait constaté les marques de sévices et d'aiguilles, ainsi que les cicatrices sur son corps. La plus flagrante ayant été son flanc droit qui avait écopé d'une cicatrice immonde aux allures de chair brûlée – ce qui avait fini par être le fait à force de se faire frapper à cet endroit par un aiguillon électrique, généralement utilisé pour le bétail – où on avait décidé de lui faire une greffe de peau pour effacer ce souvenir douloureux. Mais son corps entier portait des marques de blessures cicatrisées et la police avait penché leur enquête à l'époque, sur un enlèvement infantile qui avait plutôt bien fini, puisque voyant que Tsunayoshi ne correspondait pas à l'enfant de leur rêve, le ou les kidnappeurs l'auraient relâché. Tout du moins, c'était l'hypothèse qu'ils avaient faite lors de leurs investigations. Bien évidemment, cela n'avait rien donné et les psychiatres en avaient conclu que ce traumatisme était si profondément enfoui qu'il devait en être mieux ainsi, et que ses souvenirs n'étaient pas prêts de revoir le jour. Ce fut ainsi que quelques mois plus tard, Tsuna retrouva la mémoire et revu cet enfer qu'il avait vécu, défiler dans sa tête, car il avait été curieux de voir ce que pouvait faire les bonbons bleus de son frère.

    Personne n'aurait pu prévoir cela, et personne ne saura jamais ce qui aurait pu arriver : aurait-il fini par retrouver la mémoire ? Sinon, comment aurait-il réagi quand Mukuro l'avait libéré de son illusion ? Aurait-il été de son côté ? Aurait-il agi de la même manière ? Se serait-il retourné contre les Vongolas ? Serait-il parti en vendetta contre la Mafia entière ? Rien ni personne ne pourrait le dire et Tsunayoshi lui-même, quand il pouvait prendre le temps et l'envie d'y réfléchir, estimait que les choses étaient au mieux ainsi et que les autres possibilités ne lui auraient pas apporté meilleur situation.

    Toujours est-il que Kyoya n'aurait jamais pu deviner, sauf après avoir vu le corps abimé de son ami d'enfance, tout en ayant une imagination des plus florissantes et en connaissant l'existence de la Mafia et des cruautés qui pouvaient s'y faire, ce qui était arrivé à Tsunayoshi à cette époque. Il le savait et il essayait de faire rentrer cela dans sa tête, mais il se sentait tout de même inutile de ne rien avoir remarqué… Finalement Chikusa posa simplement une main compatissante sur son épaule, ne se montrant ni trop tactile, ni trop compatissant par ce geste. Il lui rappela d'ailleurs une dernière fois qu'à ce moment-là, Tsuna était sous l'emprise d'une puissante illusion d'oubli fraichement posée et que donc les possibilités qu'il se souvienne de tout par lui-même était proche du zéro absolu, avant de lui signaler qu'il devait dormir pour supporter ce qui se passerait demain.

    « Mukuro-sama et Tsunayoshi-san devraient revenir bientôt, tu peux les attendre si tu veux. Toi tu es exempté des séances, tu pourras dormir plus tard. Et… Ne rumine pas trop, les choses sont telles quelles sont, on ne peut rien y changer. » Conclut-il en essayant de se montrer réconforter, bien que ce ne soit pas trop sa tasse de thé.

    Kyoya l'imita pourtant en allant s'installer lui-aussi dans son lit avec l'intention de dormir : il était sûr de se réveiller quand la porte s'ouvrirait de nouveau car son sommeil n'était ni réparateur ni profond comme celui de ses codétenus.

    oOo

    Un bruit strident et métallique d'une porte glissa difficilement sur un sol trop proche, résonna dans le dortoir. Nagi et Ken dormaient trop profondément pour se réveiller, mais ce n'était pas le cas de Chikusa ou Kyoya. Ils se réveillèrent tous les deux dès qu'ils entendirent les pas claquer sur le carrelage. Ils attendirent cependant que les geôliers soient repartis comme ils étaient venus, pour se redresser. Cependant le japonais lâcha un râle ouvertement contrarié et inquiet : seul Mukuro était revenu et Tsunayoshi était toujours en salle d'expérimentation. Comment allait-il revenir ? En pièces détachées ? Il faisait un peu d'humour, chose déjà assez inhabituelle, pour essayer justement de ne pas penser dans quel état il allait revenir. Couvert de bandages ? Encore ensanglanté ? Un ou plusieurs membres fracturés ? Un œil en moins ? Malheureusement, tout était possible car il ne savait rien.

    Chikusa vint vérifier les bandages de l'illusionniste tandis que Kyoya se réinstallait dans son lit, ses bras croisés derrière sa tête. Il s'inquiétait de plus en plus pour son amant et rien ni personne n'aurait pu le rassurer. Mukuro ne prononça aucun mot, sauf pour remercier son ami de son attention.

    « Vous n'avez pas eu de complications, Mukuro-sama ? » S'enquit le manipulateur de yoyo.

    « Non, ils s'amusaient pour la plupart, beaucoup trop avec Tsunayoshi pour se soucier de moi. Je n'ai eu qu'une attention modérée. J'ai eu l'impression de revenir des années en arrière. »

    Kyoya se redressa brutalement en entendant le nom de son amant et il se rapprocha de l'adolescent :

    « Tu étais avec lui ? Qu'est-ce qu'ils lui font ? »

    « Rien que tu n'ais besoin de savoir. Si on ne t'as rien dit, c'est pour une raison. Moins tu en sauras et plus Tsunayoshi aura de chance de négocier ta libération. »

    « Il n'est pas question que je laisse ici pour me casser seul ! »

    « Ferme-là ! » Cracha Mukuro, n'étant pas en état de faire dans la dentelle, ni d'endurer ce qu'il considérait comme les caprices d'un gamin. « Ecoute, toi t'es bien au chaud tranquille ici. Tu trouves peut-être le temps long et tu rumines mais nous on préférerait milles fois être à ta place ! Si on ne peut rien faire, c'est en grande partie parce que t'es là et qu'à cause de ça Tsunayoshi est impuissant. Tu as compris ou t'es trop con pour ça ?! »

    Chikusa regarda l'adolescent qu'il respectait reprendre son calme. Ce n'était pas son corps qui était à bout, mais bien sa psyché. Ils avaient goutés au paradis et le retour en enfer en était d'autant plus difficile, surtout pour Mukuro qui avait enfin trouvé le repos après avoir retrouvé Tsunayoshi. D'ailleurs, il se demanda dans quel état devait se trouver ce dernier ? Il avait été le plus marqué par leur passé de rat de laboratoire avec l'illusionniste… C'était compréhensible, ils avaient été les plus examinés après tout. Ils avaient même été les prototypes d'essais pour un projet de grande envergure. Ils n'avaient jamais su ce qu'était, mais Tsuna et Mukuro s'en étaient retrouvés profondément changés. Ils étaient revenus un jour couvert d'un sang qui n'était pas le leur et depuis tout avait changé. Une fois libéré, ils étaient redevenu eux-mêmes et ils avaient eu la bêtise d'oublier, ou plutôt d'enfouir ses souvenirs.

    A l'époque, Tsuna s'était créé un mécanisme de défense pour volontairement se préserver de ce qu'on lui faisait subir. Avait-il recommencé ? Avait-il de nouveau fait appel à lui ? Si c'était le cas, ils le sauraient immédiatement, mais cela signifiait que le « retour aux sources » était difficile et qu'en effet, Kyoya devrait sérieusement penser à se calmer sur ses questions, elles pourraient être mal prises à cause de la fatigue, comme avec Mukuro. Et alors que Chikusa allait conseiller à l'adolescent japonais de se retenir, la porte s'ouvrit de nouveau, laissant apercevoir cette fois Tsunayoshi, attaché comme un dangereux criminel avec une jeune femme en blouse blanche qui le poussa en avant, tout en le tenant par la nuque.

    Chikusa regagna immédiatement son lit pour les laisser passer sans que l'un ou l'autre ne se prenne les pieds dans sa chaîne et Kyoya fit de même, quittant le lit de Tsuna sur lequel il était monté pour s'approcher de Mukuro. La mafieuse ne dit rien mais elle les regarda avec un mépris qui n'avait pas besoin de commentaire. Elle dirigea son prisonnier jusqu'à son lit et elle remania un peu les liens pour l'attacher au mur : si les épaisses menottes d'acier étaient les mêmes que pour les autres, le petit brun n'avait pas de chaînes entre ses poignets mais une barre de contrainte pour l'empêcher d'essayer de défaire ou de faire fondre ses liens, et il y avait une encoche par laquelle elle cadenassa la chaîne. Elle termina son travail en le débarrassant de menottes aux chevilles.

    Kyoya s'approcha de Tsunayoshi, tout comme Mukuro, dès que la mafieuse eut disparue derrière la porte. Chikusa resta à sa place et d'un regard vers l'ananas, il lui indiqua qu'il allait finir sa nuit désormais. L'adolescent aux yeux d'acier voulu prendre son amant dans ses bras pour le réconforter tendrement, cependant non seulement l'italien l'y empêcha en soulevant les vêtements du petit brun pour vérifier l'état de son corps, mais le regard que Tsuna posa sur lui le maintint à distance. Finissant son inspection en soupirant de soulagement, Mukuro porta enfin son attention sur le visage de son ami et croisa ces yeux à l'image d'une aube brûlante : orangés, plus sombres autour de sa pupille et presque rouge sur l'extérieur de l'iris. Pourtant au lieu de reculer comme Kyoya, un sourire apaisé s'étira sur ses lèvres :

    « Je croyais t'avoir tué en lui effaçant la mémoire. Ça m'a fait bizarre de ne pas te revoir. » Confia l'illusionniste heureux.

    « Il n'avait plus besoin de moi, il avait bien grandit, même si au début, j'étais encore auprès de lui pour le soutenir » Lui expliqua son interlocuteur.

    Kyoya ne savait pas s'il s'agissait vraiment de Tsunayoshi, de son Tsunayoshi : il semblait si différent, sa manière de se tenir, de parler, son ton… Qui était-ce ?

    « C'est le contexte qui t'a fait revenir ? »

    « Je ne suis jamais vraiment parti tu sais, mais sa peur m'a fait l'effet d'un électrochoc et je n'ai pas pu m'en empêcher… je serais là pour minimiser les dégâts et l'aider à tenir le coup. Il ne sera pas seul comme ça. »

    « Je vois… J'espère que nous ne resterons pas ici indéfiniment… En tout cas, je suis ravi de te revoir Natsu ! Prends bien soin de Tsuna pour nous. »

    « Compte sur moi Mukuro. » Le rassura l'adolescent avec une expression confiante et une détermination inébranlable.

    A suivre…

    °0o0°

    Récapitulatif des âges :

    Mukuro : 16 ans

    Tsunayoshi : 14 ans

    Kyoya : 14 ans

    Nagi : 14 ans

    Ken : 15 ans

    Chikusa : 15 ans

    °0o0°

    Je vous l'avais bien dit que Natsu apparaîtrait dans cette histoire, mais pas comme vous l'attendiez ! Je vous avais prévenu, mais personne n'en n'avait tenu compte XD Ou alors vous l'aviez oublié ? Bon sinon vos impressions ? Je sais déjà que vous êtes surpris, mais quels sont vos théories sur la raison de son apparence humaine similaire à celle de Tsunayoshi, les paroles de Mukuro, le fait qu'il le connaisse et qu'il soit content de le revoir ? Cela ne devrait pas être trop difficile à trouver, je vous fais confiance !

    Bon sinon, j'ai une Annonce à faire. Non je n'arrête pas la fanfiction, mais arrêté de flipper purée de petits pois ! Je vais juste de nouveau la mettre en pause… Ouais… Je sais… Vous n'appréciez pas, je le vois sur vos visages… Et je suis désolé, vraiment ! Mais je veux écrire mes histoires originales, m'y consacrer à plein temps et parce que je ne trouve pas ce temps (entre mes projets en cours, les Os à faire pour la tombola, etc) j'ai décidé de mettre tout ça en pause pour me consacrer entièrement à mes nouvelles originales.

    La Fanfiction est donc en pause jusqu'à une date indéterminée.

    Cependant, je ne suis pas en Blackout total. En effet, si vous voulez discuter, me demander où j'en suis, etc, je réponds toujours sur facebook où mon pseudo est Blihioma Celestine Rafiel. Et si vous n'avez pas de compte, si vous m'envoyez des commentaires via mon blog, j'y répondrais dans les 24h normalement )

    Après, pour ceux qui aimeraient lire mes fictions orignal et qui sont prêts à donner un avis constructif (ce qui est bien, ce qui n'est pas bien, ce qui pourrait être approfondi, etc) pas forcément un pavé immense et illisible, mais plutôt quelques lignes, ou quelques phrases, il n'y a aucun problème.

    Vous pouvez me contacter à cette adresse : celestine.rafiel@gmail.com

    Dans ce cas-là, je vous enverrais les textes que j'écris et si jamais vous avez une adresse mail avec google, on pourra même discuter via hangouts. Bref, si jamais vous êtes intéressé, vous pouvez me contacter, mais n'oubliez pas, je veux un retour )

    Pub Sondage : Un sondage est en cours pour choisir un ou plusieurs OS qui obtiendront une suite. Vous avez votre mot à dire et sur le profil, il y a la liste des OS pour lesquels on peut voter. 5 choix sont possibles au total et il n'y a pas encore de date limite à ce sondage. Sur le profil également, le sondage pour les gens qui sont inscrits au site et pour les anonymes, un autre lien est disponible !

    Bon, je vous laisse, vous pouvez me jeter des pierres si cela vous soulage x)

    Je ne vous dis pas à bientôt car je ne sais pas quand je reprendrais.

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